Parution de LE CRI DU SEL de Roger-André HALIQUE


Vient de paraître LE CRI DU SEL de Roger-André HALIQUE,
préface Johanne Hauber-Bieth

PRÉFACE
de Johanne Haubert Bieth...
Présidente Fondatrice du
PANTHÉON UNIVERSEL DE LA POÉSIE

 

Dans ce « Cri du sel » il y a tout ce que l’auteur à puisé dans l’encre de son cœur d’une plume tout à tour

• Interrogative : « A qui des deux profitera
                             Le dernier coup ?
                             Dieu se fait vieux ! »

 

• Amoureuse : « Nous étions amoureux et nous avions raison
                           Suzy, t’en souvient-il ? »

 

• Passionnée : « Pourvu que je sois ce martyre
                           Brûlant au feu de ta passion »

• Emouvante : « Comme il nous manque cet enfant
                           Que nous n’avons pas eu
                           Et que nous avons fait si souvent »

 

• Réaliste : « Mais tout rêve a une fin.
                     Il se fait prendre à son tour
                     Dans le piège du destin »,

 

et bien plus encore sur la trame des quatre saisons, de la vie et de la mort :

« Les muguets sabre au clair escortent le printemps) à (tant de voyages dépassés pour accoster au dernier port »...
se terminant par le chapitre des ténèbres avec un bel hommage à son ami Charles Le Quintrec décédé le 14 décembre 2008, ce recueil nous emportent au rythme d’une poésie où « seule importe l’harmonie du vers et son écho dans le cœur de celui qui l’écoute » comme le dit le poète avec raison car son choix va à l’essentiel : écrire pour simplement le dire.

La poésie de Roger-André Halique laisse tout sauf insensible. Si la Bretagne et ses légendes, ainsi que des émois de voyages y tiennent une place non négligeable, la respiration de sa bien-aimée, muse de toujours, son épouse Suzy, y est quasi-palpable dans certains poèmes.

J’ai aimé relire d’un trait ces « Poèmes du samedi » que nous les avons appelés lors de leur diffusion hebdomadaire par courrier électronique aux membres du Panthéon Universel de la Poésie.

Le ballet des vers de Roger-André, ponctué par ses peintures, dessins ou sculptures dans cet opéra qui lui est propre, m’a interpellée avec force.

Retrouvez-les vous aussi sans hésitez dans ce Florilège testament de notre ami qui y a planté beaucoup de son âme.

24 novembre 2015

Johanne Hauber-Bieth
... Poétesse
Grand Prix des Lettres Arts-Sciences-Lettres
Médaille de Bronze de la Renaissance Française
Présidente-Fondatrice du Panthéon Universel de la Poésie